Fait incontournable : les Allemands règnent en maîtres dans le domaine des automobiles de prestige. En effet, depuis leurs tous débuts, ceux-ci ont toujours fait figure d’avant-gardistes en termes de performances, de luxe et de technologies embarquées. Et parmi cette élite teutonne, trois marques constituent LE sacrosaint trio : Mercedes-Benz, BMW et, enfin, Audi. Et depuis plusieurs décennies, ceux-ci se livrent une lutte acharnée pour la suprématie dans ce pan d’industrie. Mais pour 2020, c’est Audi qui tire son épingle du jeu avec le plus de brio. Découvrez dès maintenant avec Audi Blainville, votre concessionnaire Audi de référence dans la ville éponyme, en quoi le constructeur d’Ingolstadt a une longueur d’avance sur ses concurrents ci-dessous!
Mercedes, doyen pur et simple de l’automobile.
Commençons par Mercedes-Benz. Créée en 1926 par la fusion de Benz & Cie, Daimler-Motoren-Gesellschaft – DMG – et Mercedes, la Marque à l’Étoile possède pourtant des origines bien plus anciennes. En effet, c’est en 1886 que Benz & Cie sortent leur Benz Patent-Motorwagen Nummer 1, considérée souvent comme la toute première automobile. Quant au second manufacturier cité, DMG, celui-ci est l’œuvre de deux pionniers dans le domaine des moteurs à explosion : Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach.
Mais le nom actuel, « Mercedes », proviendra d’Emil Jellinek, concessionnaire automobile majeur au tournant du 20ème siècle. Celui-ci, s’inspirant du nom de sa fille, Mercédès Jellinek, le déposera officiellement en 1902. Il signera aussi la même année un contrat d’exclusivité commerciale avec DMG pour plusieurs pays d’Europe et les États-Unis. C’est aussi lui qui, en 1909, enregistrera la fameuse étoile comme logo du constructeur, sensée symboliser les trois domaines dans lesquels Daimler souhaitait voir évoluer ses moteurs (terre, mer, et airs). Celle-ci figurera dès 1911 sur les modèles de la marque.
Pour autant, c’est en 1924 que Mercedes commence à prendre la forme qu’on lui connaît, avec un premier rapprochement entre DMG et « Benz & Cie ». La fusion des deux constructeurs précédents avec la marque d’Emil Jellinek aura lieu, elle, deux ans plus tard (le 28 juin 1926). La nouvelle entité, Mercedes-Benz AG, commencera la même année à produire des véhicules, dont la W01, première voiture d’une longue liste de modèles charismatiques. Mercedes manufacturera aussi des véhicules moins prestigieux très tôt, ainsi que plus de 64 000 véhicules utilitaires pendant la Seconde Guerre mondiale. La nomenclature de modèles que nous connaissons actuellement, elle, naîtra après celle-ci avec d’abord la création des classes E, S et SL. Ces dernières ouvriront la voie à une diversification qui s’intensifiera surtout dans les années 1990, avec notamment l’arrivée de la classe C, du VUS ML, et enfin d’un coupé-cabriolet, le SLK.
Actuellement, le constructeur à l’étoile dispose d’une vaste gamme de véhicules allant de la sous-compacte de luxe (Classe A), à la super-sportive exotique en deux et quatre portes (Mercedes-AMG GT Coupé et Coupé 4 Portes), en passant par une large gamme de berline (Classe C, E, S), et des VUS (GLA, GLB, GLC, GLE, GLS, et Classe G).
Les archives numériques de Mercedes-Benz Classic
BMW : un joueur ancien et tout aussi diversifié que son rival de toujours, Mercedes.
Historiquement, cette rivalité entre les constructeurs d’outre-Rhin s’est longtemps cantonnée à la légendaire concurrence BMW-Mercedes. Et ceci se comprend quand on considère l’histoire de la Bayerische Motoren Werke (« fabrique bavaroise de moteurs » en français, abrévié B.M.W.). Fondée officiellement en 1916, soit bien après les débuts du premier véhicule Benz, elle produisait au départ des moteurs destinés à l’aéronautique. Cependant, pour donner suite à la défaite allemande à la Première Guerre mondiale et au Traité de Versailles en 1919, B.M.W. doit se reconvertir de force, ne pouvant plus produire quoi que ce soit dans l’aviation. L’entreprise munichoise se mettra alors à manufacturer des moteurs à destination des motos, des automobiles et des camions.
Mais c’est à partir de 1928 que BMW renforcera sa présence dans le secteur automobile avec l’acquisition de Dixi, entreprise qui avait alors les droits pour la production de l’Austin Seven. Suite à ce rachat, le modèle 3/15 PS verra le jour en 1929. Celui-ci comportera déjà des modifications par rapport au modèle d’origine (passage à une visserie à pas métriques). Par la suite, BMW innovera avec une audace grandissante, notamment avec le modèle 303 de 1933, qui arborait un noble six-cylindres. Pour autant, la typologie de modèles « Béhème » telles que nous la connaissons sera plus tardive que celle de son rival de toujours qu’est Mercedes. En effet, ce ne sera qu’à partir des années 1970 que la structure « Série + chiffre » (ex. Série 3, Série 5, Série 7) apparaîtra.
Les années 1980, elles, mettront à l’honneur la fameuse branche « Motorsport » de BMW, symbolisée par le fameux « M » précédé par les deux bandes bleues et la bande rouge caractéristiques. En comparaison, il faudra attendre 2005 pour qu’AMG, alors préparateur indépendant et spécialisé dans les modèles Mercedes, devienne une division équivalente au « Motorsport » de BMW chez le constructeur à l’étoile. La division « M » est surtout reconnue pour son travail poussé sur les six-cylindres en ligne de BMW, travail qui érigea le constructeur munichois en véritable spécialiste pour ce type d’architecture moteur.
Tout comme Mercedes, Les années 1990 et 2000 seront marquées chez BMW par l’accroissement du nombre de modèles, avec notamment le lancement de divers VUS, dont l’incontournable X5 (en production depuis 1999), et de roadsters suite à l’éphémère Z1, avec tout d’abord le Z3 (1995– 2002), puis le Z4 (produit depuis 2002).
BMW X5 2001
Audi : le plus jeune dans le premium des Laurentides à la Rive-Nord de Montréal.
L’histoire d’Audi est plus complexe et intimement liée à celle de Karl Benz et de sa compagnie, Benz & Cie. August Horch y quittera son poste de directeur du département des véhicules motorisés en 1899, pour créer sa propre compagnie, sobrement nommée A Horch & Cie Motorwagen Werke. Mais cette aventure ne durera que dix ans. En 1909, il quittera cette dernière également, à la suite de différends entre lui et le conseil d’administration. Mais il persévère, et fonde un second constructeur à Zwickau en Allemagne le 16 Juillet de la même année. Mais nommer le manufacturier nouvellement créé s’avèrera plus ardu. En effet, le patronyme « Horch » était déjà enregistré. Peu importe, il utilisera le même terme, qui signifie en allemand « « écouter », mais en latin cette fois (Audi).
Audi prendra rapidement ses galons en matière de prestige, notamment via la compétition (plusieurs victoires au Rallye Alpin d’Autriche de 1911 à 1914). Fort de ce succès, Horch lancera dès les années 1920 des modèles phares, dont l’iconique Audi Imperator, mue par un huit-cylindres et dévoilée en 1927. Mais cette épopée incroyable sera malheureusement de courte durée. En effet, deux ans plus tard, la crise de 1929 frappe, et ralentit fortement la vente des voitures animées par un six ou un huit-cylindres. Ceci aboutit à des pressions de la part de la Banque Étatique de Saxe pour que plusieurs marques automobiles fusionnent. Ceci se fera rapidement avec la création d’Auto-Union AG en juin 1932, après la mise en commun des intérêts d’Audi, de Horch et de DKW. Plus tard, la branche auto de Wanderer Werke rejoindra le trio pour former un quatuor. C’est de cette époque que proviennent d’ailleurs les quatre anneaux Audi, qui représentent chacun une marque dans la nouvelle entité.
Pour autant ce sera surtout après la Seconde Guerre Mondiale que l’on assistera à une montée en force du groupe, qui se déplacera à Ingolstadt en 1945. Dès 1954, l’homme d’affaires Friedrich Flick acquiert des parts d’Auto-Union tout en recherchant activement un partenaire économique solide. Il le trouvera en 1958. Et celui-ci et est bien connu à Ingolstadt : il s’agit de Daimler-Benz AG, qui prendra une participation de 88% dans Auto-Union. Mais en 1964, Volkswagen rachète Auto-Union, et décide de renommer le groupe « Audi ». En 1969, Audi se renforcera encore davantage en fusionnant avec le constructeur NSU.
S’en suivront alors une croissance et une reconnaissance phénoménales pour le constructeur, qui aboutiront sur ce qu’il est aujourd’hui : une marque à la technologie de pointe. Premier cinq-cylindres Audi en 1976, victoires écrasantes en rallye du coupé Quattro, et, enfin, dans les années 1990, développement d’abord de la gamme Audi S, puis de la gamme RS dès 1994 avec l’iconique RS 2 : si elle fut reconnue plus tardivement que ses concurrentes, la marque aux anneaux a su démontrer une forte capacité d’innovation. Et ceci est encore très visible actuellement, avec notamment l’introduction il y a quelques années de l’Audi Virtual Cockpit, et l’utilisation quasi systématique d’une transmission intégrale sur ses sportives routières. Le premier point a depuis été adopté sur l’actuelle Classe A de Mercedes, alors que le second a été repris par BMW pour l’actuelle berline M550i xDrive.
Mercedes-Benz vs BMW vs Audi : comparaison des véhicules le plus populaires des trois marques
Ainsi, au terme de l’étude du patrimoine de chacun des constructeurs précités, certains traits peuvent être dégagés pour chacun d’eux : Mercedes-Benz représente l’archétype de la voiture de luxe, alors que BMW penche plutôt du côté de la voiture premium à tendance sportive. Pour Audi enfin, le constat est encore plus clair : le constructeur aux anneaux crée des automobiles de luxe dont le prestige est d’abord dû au nombre important de technologies de pointe embarquées par celles-ci et les bénéfices qu’elles engendrent pour le conducteur de Blainville sur la Rive-Nord de Montréal, aux Laurentides.
Voyons comment ceci se traduit en comparant les catégories de véhicules les plus en vogue entre les trois constructeurs précités!
Mercedes Classe C 2020 vs BMW Série 3 2020 vs Audi A4 2020 : l’Audi plus performante en toute condition.
Historiquement, le cœur de métier de Mercedes-Benz, BMW et Audi a d’abord été celui des berlines de luxe. Et encore aujourd’hui à Blainville, ce type de véhicule connaît un fort succès, surtout en ce qui a trait aux berlines compactes. Mais actuellement, qui domine les débats? C’est ce que nous allons voir via ce bref comparatif entre la Mercedes Classe C 2020, la BMW série 3 2020, et l’Audi A4 2020.
Tout d’abord, le design extérieur. Sur ce point, les trois constructeurs diffèrent fortement. Pour Mercedes-Benz par exemple, une berline de luxe doit afficher des lignes fluides et élégantes, et cela se voit au premier coup d’œil sur la Mercedes-Benz Classe C Berline 2020. Calandre et ses phares arrondis, optiques arrière tout en courbes : la berline compacte de luxe Mercedes affiche des traits rassurants et classiques, mais peut-être moins dynamiques que voulu. Chez BMW, la Série 3 2020 reprend cet aspect, tout en cherchant à y inclure une certaine sportivité, avec notamment des optiques avant et arrière conjuguant rondeurs et angles pointus. Certains pourront voir dans ces lignes une certaine lourdeur et une hésitation de la part de BMW sur le style choisi pour sa berline fétiche. En revanche, pour l’Audi, aucun doute possible. En effet, l’A4 2020 a choisi la simplicité des arêtes vives et d’un profil tendu pour afficher sa vocation sportive et hautement technologique. Phares avant biseautés, iconique calandre monocorde béante, flancs finement sculptés, et optiques arrière à la signature lumineuse caractéristique : l’Audi montre qu’elle a choisi l’athlétisme de manière délibérée en matière de design.
Il en va de même pour les innovations proposées par les trois constructeurs, à commencer par les spécificités techniques. Si l’on prend les versions « normales » qui constitueront la majeure partie des ventes (c.-à-d. modèles non AMG, non Motorsport et non Audi S), on remarque que c’est encore Audi qui prime. La berline compacte de luxe Audi embarque en effet un groupe motopropulseur aux caractéristiques proches de celui de la Classe C (A4 45 TFSI Quattro S tronic 2020 : 248 ch et 273 lb-pi de couple, Classe C 300 4MATIC 2020 : 255 ch et 273 lb-pi de couple) lui permettant avec près de 7 chevaux de moins, d’offrir un 0-100 km/h identique (5,9 secondes). Si on la compare à la berline compacte de luxe BMW et ses 255 ch pour 295 lb-pi de couple (BMW 330i xDrive 2020), l’écart pour arriver à 100 kilomètre par heure n’est que de 0,3 seconde (0-100 en 5,6 secondes d’après BMW). Pour autant, il est bon de rappeler que les performances de la BMW seront moins bonnes dès que les conditions d’adhérence se dégraderont. En effet, si dans sa variante précitée la munichoise dispose d’une rouage intégral respectable (le xDrive), celui-ci est moins efficace que le système 4MATIC de la Classe C Berline 2020, qui est lui-même est inférieur au système Quattro, développé en compétition. Ainsi, l’Audi mettra à votre disposition toutes ses performances de manière sécuritaire et ce, quelle que soit la météo!
Mercedes-Benz GLC 2020 vs BMW X3 2020 vs Audi Q5 2020 : l’Audi, VUS le plus versatile à Blainville.
Actuellement, bien que les berlines compactes rencontrent toujours un vif succès, ce sont vraiment les VUS de luxe qui connaissent une ascension vertigineuse. Il est donc tout à fait logique de comparer les utilitaires sport proposés par ces marques et plus précisément ceux que les acheteurs préfèrent : les VUS compacts premiums.
Chez Mercedes-Benz, c’est le GLC 2020 qui remplit cette fonction. Tout comme pour la Classe C, on retrouve de nouveau un dessin tout en rondeurs, notamment au niveau des sommets de la grille avant. Mais avec des surfaces vitrées latérales moins dynamiques que ses deux concurrents, et une lunette arrière plus droite, le VUS compact premium Mercedes pourra sembler massif pour certains. Le BMW, lui, reprend la recette de la Série 3 face à la Classe C : une ligne alternant rondeurs et sommets vifs pour les faces avant et arrière. Le BMW contraste avec son rival à l’étoile de côté, ou les flancs sont très marqués. L’hésitation entre design fluide et athlétique, déjà constatée sur la berline à l’Hélice, se retrouve de nouveau ici pour le X3. Pour le Q5 2020, se sont encore des lignes très géométriques et simples qui ont été retenues à Ingolstadt. Phares très géométriques, grille monocadre très aérée, ceinture de caisse marquée mais fluide puisqu’en double vague, et optiques arrière distinctives : les lignes sont dynamiques sans trop en faire, et nous font ressentir d’emblée que nous avons à faire à un vrai VUS compact premium Audi.
Et ceci se confirme en étudiant la fiche technique du SUV aux anneaux. Dans sa variante 45 TFSI Quattro S tronic, le Q5 peut compter sur un moteur de 1984 cm³ disposant de la suralimentation pour fournir 248 ch pour 273 lb-pi de couple. En face, le Mercedes dispose de 255 ch pour un couple de 273 lb-pi (Mercedes GLC 2020 300 4MATIC), et le BMW s’en tient à 248 ch pour 258 lb-pi de couple (X3 2020 xDrive30i). Comme pour les berlines des trois marques, les performances sont quasi identiques, avec des accélérations similaires (0-100 km/h : 6,3 secondes pour le Q5 et le X3, et 6,2 secondes pour le GLC). C’est de nouveau au niveau de la transmission intégrale embarquée de série par chacun des protagonistes que la différence se fait. Le Quattro d’Audi est donc de nouveau en tête, suivi du très bon système 4MATIC de Mercedes. Le système xDrive du VUS compact premium BMW, lui, se classe encore bon troisième. Le constat concernant la disponibilité de toutes les capacités de manière sécuritaire en tout temps est donc encore à l’avantage du Q5. Merci le rallye!
En matière de technologies dans l’habitacle, enfin, c’est de nouveau l’Audi qui gouverne les débats. En effet, selon le modèle, vous pourrez compter sur l’incontournable tableau de bord numérique Audi Virtual Cockpit (le BMW peut offrir une itération équivalente mais moins bien exécutée, alors que le GLC en est encore aux compteurs à aiguilles), ou encore sur un incroyable système de son B&O qui transformera votre habitacle en salle de concert privée près de Blainville.
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Conclusion : Audi, le summum de la technologie et de la performance en tout temps. Point final.
Il est incontestable que Mercedes-Benz et BMW sont des constructeurs premiums au passé riche et intéressant, et offrant toujours des produits de très haut niveau. Cependant, leur longue rivalité les a amenés à regarder ce qui marche chez l’autre et à le reprendre à sa manière. Audi, lui, a décidé de tracer sa propre voie, en axant sa notion de luxe automobile sur l’innovation. Ceci permet de regrouper tous les aspects propres à un véhicule de prestige en offrant le meilleur en termes de style extérieur, de performances et de technologies au conducteur. Il en résulte des véhicules offrant le summum du luxe tout en se montrant homogènes et agréables à conduire à tous les niveaux.
Ainsi, vous vous en doutez : si vous recherchez ce qui se fait de mieux en matière d’automobile premium, seul Audi vous satisfera! Passez donc dès aujourd’hui chez Audi Blainville, votre concessionnaire Audi de référence sur la Rive-Nord de Montréal, afin de découvrir tout ce que la gamme du constructeur aux anneaux a à offrir jusqu’aux Laurentides face à la concurrence! Vous pourrez aussi, au passage, voir les offres Audi et les programmes de location et de financement Audi qui vous permettront de repartir au volant de VOTRE véhicule d’Ingolstadt. Au plaisir de vous rencontrer bientôt en concession!
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